Marc Zaugg ART – IMPRIMÉ
Kommende Ausstellungen:
Marc Zaugg, Emme am südlichen Eingang zur Räblochschlucht
4-farbig, August 2023
Auflage 1/4 – 4/4
Format mit Papierrand 100 x 100 cm
Museum Franz Gertsch, Platanenstrasse 3, 3400 Burgdorf
SCHNITT & DRUCK IN VARIATION
80 JAHRE XYLON SCHWEIZ
8. Juni – 1. September 202428 Mitglieder der XYLON Schweiz stellen im Museum Franz Gertsch aus.
Marc Zaugg, Wasserfall Giessbach,
5 Farben, Mai 24, 1/5 – 5/5, 60 x 180 cm
offspaceviktoria
Ausstellung in der alten Feuerwehr, Gotthelfstrasse 31, 3013 Bern
LA FINALISSIMA
13. – 16. Juni 202432 KünstlerInnen die Fabio Mariani in seiner Galerie in den letzten Jahren zeigte, stellen je 1 Bild aus.
Mehr Infos unter offspaceviktoria.ch
Marc Zaugg, Source de l'Areuse, 5 couleurs, août 2023,
tirage 1/4 – 4/4
Format avec bord du papier 100 x 100 cm
Etage 19 in Nidau
Vis à vis Knettnauweg 729. August – 1. September
Gruppenausstellung mit Beat Frank, Lis Blunier, Christiane Lenz, Marc Zaugg
Pourquoi il faut vraiment faire attention à la mousse!
La mousse, c’est bon pour la santé des écosystèmes... et de la planète !
( Éric Prouzet/Unsplash) Nouvel Obs 8 mai 2023
Les mousses sont bonnes pour les sols et pour la planète, assure une vaste étude internationale, qui souligne aussi leur rôle pour piéger le carbone qui réchauffe l’atmosphère.
« Nous montrons dans nos recherches que là où il y a de la mousse, la santé des sols est meilleure, avec davantage de carbone et davantage d’azote. Elles aident donc à préparer le sol pour le retour des arbres, des buissons et des herbes… »
« Nous pensons que les mousses absorbent six fois plus de dioxyde de carbone. Aussi ce n’est pas un pour un, c’est six fois mieux », assure David Eldridge. Ces gigatonnes de carbone pourraient ainsi être capturées pour se retrouver dans les 5 premiers centimètres du sol. Et ce ne serait qu’un petit ordre de grandeur. « Notre étude sous-estime largement cette influence vu que nous avons limité nos estimations aux zones de forte certitude. »
David Eldridge, coauteur de la remarquable étude-bilan sur le rôle des mousses publiée dans la revue « Nature Geoscience », explique : « Les mousses n’ont pas la plomberie qu’ont les plantes ordinaires, que l’on appelle xylème et phloème [les deux formes de transport de l’eau et des nutriments dans la plupart des végétaux de notre environnement, NDLR], où l’eau se déplace. Mais les mousses survivent en captant de l’eau de l’atmosphère. Et certaines mousses, comme celles des parties sèches de l’Australie, se recroquevillent lorsqu’elles sèchent mais ne meurent pas, elles vivent pour toujours en animation suspendue. Nous avons prélevé des mousses dans un sachet après cent ans, les avons aspergées d’eau et les avons observées alors qu’elles revenaient à la vie. Leurs cellules ne se désintègrent pas comme le font celles des plantes ordinaires. »
Nouvel Obs 8 mai 2023
Atelier Marc Zaugg
Lorrainestrasse 15
3013 Berne
+41 79 301 82 40